Ils étaient devenus trop nombreux, ingérables.
On avait fini par les parquer, on avait construit des citées surveillées à l’écart des villes et on les laissait sortir le moins possible afin qu’ils ne contaminent pas trop les autres.
Aucune aide extérieure ne leur était donnée, ils refusaient la technologie, eh bien qu’ils se débrouillent !