#UXWriting du jour : tronquer les textes ? Mauvaise idée.
Alors que le numérique offre (contrairement au papier) la possibilité de rendre les contenants élastiques, une tendance a émergé depuis des années, à savoir : faire des contenants visuellement parfaits en premier et tenter de faire rentrer les contenus au chausse-pied.
Bilan : les textes (ce sont souvent le textes) sont réduits à éléments devant s'adapter à leur environnement mal conçu.
Et ça peut donner des trucs... hmmm
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#UXWriting
Exemple : texte tronqué pour rentrer dans les cases. Et votre contenu n'a plus de sens
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#UXWriting
Concernant la capture écran de Indeed, vous êtes nombreux à me dire que l'interface est prévue pour la langue anglaise.
Oui c'est vrai, c'est l'explication, mais, Indeed est un poids lourd du marché, un méta moteur de recherche d'emploi présent dans plus de 50 pays (y compris en Antarctique ).
"C'est le seul métamoteur de recherche d'emploi présent sur 7 continents"
Alors quand on a une telle aura et qu'on souhaite garder sa place de leader, on soigne ses internationalisations.
#UXWriting
Autre exemple : votre template est super chiadé, bien aligné... Mais une partie des contenus prévus pour aller dedans sont plus longs.
Vous n'avez pas regardé les contenus réels de manière exhaustive. Résultat, ça déborde.
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#UXWriting
Je pourrais en ajouter d'autres
Alors, posez-vous la question : si vous faites le choix de tronquer du texte ou de faire des contenants strictes, quels sont vos arguments ? Comment pouvez-vous justifier vos choix ?
Mon conseil : Pensez à récupérer un maximum de vrais contenus (contexte et métier) pour travailler dessus avant de penser à vos interfaces
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