Ces fortes chaleurs perturbaient l’équilibre mental des humains, ils en venaient aux mains pour une simple place à l’ombre d’un arbre.
Je pensais que nous avions touché le fond, mais arrivant chez moi je découvris que mon frigo m’avait envoyé un préavis de grève, il parlait de surcharge de travail et de cadences infernales.
Mon chauffe-eau, lui, était en pleine déprime : « Tu ne m’utilises pratiquement plus, je ne sers à rien, si tu ne veux plus de moi il faut me débrancher… »