La France commençait à regretter d’avoir confié son armée à Microsoft.
Entre les missiles qui atteignaient rarement leur cible, les chars qui n’avaient jamais le bon driver et les avions qui ne décollaient qu’après 30 à 40 minutes de mise à jour, ils n’étaient pas prêts de la gagner cette guerre contre la Google China Strike Force.
Il était encore possible de demander de l’aide à l’U. S. Apple Defense, mais la facture ruinerait le pays.